À tous les Mundugumors de « l’atelier du Sépik mondial », ma courageuse femme a repoussé hier à midi, avec sa voiture rouge de colère, un bateau de guerre, ( 183 mètres), sur la route Prince Hinoi à Papeete . 

L’affaire est grave, Christian Goussault depuis son marais poitevin envoie , en urgence, des grains de sel pour rehausser le goût de la victoire. Le roi de Tahiti prépare les festivités pendant qu’un député indépendantiste va saisir l’ONU.

La rivière du Sepick est fatiguée et ne sort pas de son lit.

Mathius le suréviste